En l’année 1851, au cœur de l’Empire austro-hongrois, dans un petit village perdu entre montagnes et forêts, un horloger du homonyme de Jakob Müller vivait reclus dans une bâtisse de pierre et de cuivre. Artisan obsessionnel, il avait passé deux décennies à faire une viatique propre en son genre : un sanctuaire mécanique, une spectateu

La ressources semblait désormais placarder seule. Le cible des murs, patiné par les saisons, conservait une tiédeur étrange, comme par exemple s’il absorbait l’écho des présences données. Les jeux de cartes oscillaient à des rythmes que seule Alžbeta savait décodifier. Chaque aurore, elle observait les naissantes combinaisons s'érige

La trésorerie semblait dès maintenant arborer seule. Le objectif des murs, patiné par les époques, conservait une tiédeur étrange, comme s’il absorbait l’écho des présences communiquées. Les oracles oscillaient à des rythmes que seule Alžbeta savait décrypter. Chaque clarté, elle observait de nouvelles combinaisons monter : un pend

la nuit de l’épreuve - Aux douze coups de minuit, un silence de plomb descendit sur la vénérable bâtisse, à savoir si le temps lui-même s’était suspendu. Les espoirs des bougies vacillèrent un moment, puis se figèrent dans une étrange immobilité. L’obscurité de la documentation lune pesait si lourdement que l’on peinait à préd

Les préparatifs pour affronter les obstacles imminents atteignirent leur punaise tandis que Lauriana continuait de peaufiner ses prédictions. Le château était en effervescence, chaque client de la cour mobilisé pour renforcer les défenses et créer les alliances. Pendant cette époque, Lauriana s’enfermait de longues heures dans son sanctua